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Budapest 2024  - 1 runda
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Rétro #5 - Quand Thiem décrochait le titre à l’US Open !  Après notre rétrospective sur l’impensable sacre d’Emma Raducanu lors de l’US Open 2021, l’heure est venue de se replonger dans un autre moment marquant de l’histoire récente du Grand Chelem New-yorkais.  Ainsi, alors que Dominic Thiem prendra sa retraite en fin de saison et qu’il va disputer son dernier tournoi du Grand Chelem dans quelques jours, il est temps de se remémorer son plus grand accomplissement en carrière : son sacre à l’US Open 2020.  À l’époque, l’Autrichien est attendu. Depuis un moment déjà, il figure dans la liste des favoris au titre en Grand Chelem.  D’ailleurs, il n’en est pas à son premier coup d’essai. 3e mondial au début du tournoi, il compte déjà trois finales de Majeur à son actif.  Connu pour son aisance sur terre battue et notamment à Roland-Garros, il reste sur deux finales de rang Porte d’Auteuil, battu à chaque fois par Rafael Nadal (2018, 2019).  Cela dit, ‘Domi’ a encore changé de statut en 2020 et est désormais capable de bien jouer sur toutes les surfaces.  Titré à Indian Wells en battant Federer en finale puis finaliste au Masters en 2019, il confirme en 2020.  Auteur d’un Open d’Australie de très haut niveau où il ne s’est incliné qu’en finale au terme d’un énorme combat face à Djokovic (6-4, 4-6, 2-6, 6-3, 6-4), l’arrivée de l’épidémie de Covid-19 l’a stoppé en plein élan.  En effet, l’année 2020, c’est également l’année du Covid avec l’annonce des confinements et un circuit ATP à l’arrêt pendant de nombreux mois.  Ainsi, l’US Open n’est que le second tournoi officiel joué depuis la reprise du circuit, à huis clos bien évidemment.  On peut aussi préciser que Thiem arrive à New-York au lendemain d’une sacrée contre-performance. Inscrit à Cincinnati, délocalisé à New-York pour cause de Covid, il a lourdement chuté dès son premier match face à Filip Krajinovic (6-2, 6-1).  Pourtant, le petit prince de Vienne va bien devenir roi au terme d’un tournoi exceptionnel, du moins jusqu’en finale. Pour rappel, cette édition de l’US Open est très particulière dès le début : non seulement on joue à huis clos, mais surtout Nadal et Federer ont fait l’impasse. Tête de série numéro 2 de l’événement, Thiem est donné dans la liste des principaux favoris au sacre dès le début du tournoi. Les autres noms cités sont bien sûr Djokovic que tout le monde voit déjà trophée en main, Medvedev finaliste sortant, Zverev éternel prétendant en Grand Chelem ou encore Tsitsipas, outsider indiscutable.  Finalement, il y a un peu Djokovic et les autres, ce qui permet à Dominic Thiem de ne pas subir trop de pression en début de tournoi.  Appliqué, sérieux et porté par des coups parfaitement réglés, l’Autrichien réussit un début de tournoi extrêmement solide. Profitant de l’abandon de Munar au premier tour (7-6, 6-3, ab.), il domine très facilement le modeste Sumit Nagal (6-3, 6-3, 6-2) avant d’éviter avec brio le piège Marin Cilic au troisième tour (6-2, 6-2, 3-6, 6-3).  Presque sans faire de bruit, le joueur de 27 ans est déjà qualifié pour la deuxième semaine.  Dans le même temps, la première sensation a eu lieu puisque Tsistipas a été éliminé par un excellent Coric (6-7, 6-4, 4-6, 7-5, 7-6).  En huitièmes de finale, Thiem monte encore d’un cran et brille sur le Arthur Ashe Stadium. Opposé à un Auger-Aliassime motivé, il calme très rapidement les ardeurs du jeune Canadien et s’impose en à peine 2h de jeu (7-6, 6-1, 6-1).  C’est alors qu’un petit tsunami va déferler sur Flushing Meadows. Perdant ses nerfs lors de son huitième face à Carreno Busta, Djokovic va envoyer une balle dans la gorge d’une juge de ligne et être disqualifié.  La donne a changé : Djokovic hors-jeu, les regards se tournent désormais essentiellement vers Thiem et un peu vers Medvedev.  Opposé à un surprenant De Minaur en quarts de finale, ‘Dominator’ ne tremble pas. Visiblement pas réellement affecté par la disqualification du numéro 1 mondial, il écœure l’Australien à coup de superbes coups gagnants (47) et s’impose en 3 sets (6-1, 6-2, 6-4).  2 matchs. L’Autrichien est à deux matchs de son rêve. Or, en demi-finale, c’est Daniil Medvedev qui l’attend.  À l’époque, les observateurs sont unanimes : c’est la finale avant l’heure.  Loin de plier sous la pression, Thiem va réaliser le match parfait tant tennistiquement que mentalement.  Profitant d’abord d’un important saut de concentration de son adversaire, il va rapidement s’adjuger le premier acte (6-2) avant de résister à un excellent Medvedev dans les deux sets suivants. Breaké d’entrée de deuxième manche, il va recoller au moment où le Russe servira pour égaliser à une manche partout avant de s’adjuger le deuxième set au terme d’un jeu décisif de toute beauté (6-2, 7-6).  Bis répétita dans le troisième acte. Encore distance d’entrée (3-0), il debreake au moment où son adversaire sert pour le set. Brillant, il s’impose, un peu contre le cours du jeu, en seulement 3 manches (6-2, 7-6, 7-6).  Cette fois, c’est fait. Il est en finale et n’a plus qu’un match à remporter pour enfin décrocher un sacre majeur.  Pour sa quatrième tentative, ce n’est pas Djokovic ou Nadal qui va se présenter, mais un novice, un Allemand qui n’a jusqu’alors pas joué la moindre finale en Grand Chelem : Alexander Zverev.  Avant le match, le favori de la partie ne fait de doute pour personne, c’est Dominic Thiem. C’est sa chance, il doit à tout prix la saisir. Or, dans un Arthur Ashe Stadium vide, la pression du destin va s’abattre sur l’Autrichien, brutalement. Paralysé par l’événement, Thiem passe à côté de sa partie et Zverev, finaliste miraculé, en profite.  Tout semble terminé. Après moins de 2h de jeu, celui que tout le monde voyait triomphe est mené de deux sets et d’un break (6-2, 6-4, 2-1).  Pourtant, il ne va pas abdiquer. Profitant d’un Allemand se tendant à son tour, ‘Dominator’ va se lancer dans un impensable come-back.  Remportant le troisième (6-4) puis le quatrième (6-3) set, il emmène un Zverev quelque peu désabusé dans un ultime acte de tous les dangers.  Le scénario de ce dernier set est à l’image de la partie : incohérent.  Zverev sert pour le titre (5-3) puis se fait reprendre (5-5). Ensuite, c’est Thiem qui sert pour la partie (6-5) et se fait reprendre (6-6).  Tout va finalement se jouer au jeu décisif et Thiem va l’emporter en héros. Sauvant deux balles de match, il va s’adjuger les 4 derniers points de la partie pour avoir le droit de s’écrouler sur le court en champion (2-6, 4-6, 6-4, 6-3, 7-6). En champion du Grand Chelem.  Si la suite de l’aventure de ce joueur prodigieux s’est finalement révélée être très loin de ce que l’on attendait, puisqu’il ne jouera plus la moindre finale en Grand Chelem et s’écroulera progressivement à partir de 2021, ce moment si particulier restera gravé dans les mémoires. Une question persiste : peut-il faire rêver ses fans une dernière fois avant de tirer sa révérence ?  Réponse dès lundi ou mardi pour un premier tour pop-corn face à Ben Shelton.
Tiafoe : "C’est à peu près tout ce que j’ai à dire" Frances Tiafoe retrouve son tennis. Auteur d’un excellent tournoi de Cincinnati, l’Américain n’a été stoppé qu’en finale, par un excellent Jannik Sinner (7-6, 6-2).  De retour dans le top 20 mondial, Tiafoe espère bien pouvoir capitaliser sur cette confiance retrouvée pour réaliser de grandes choses à l’US Open, son grand objectif de la saison. Interrogé en conférence de presse, il a logiquement été interrogé sur la récente affaire Sinner.  Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il ne s’est pas attardé sur la question, se contentant de déclarer : "Il est évident que c’est un joueur incroyable et, vous savez, les instances ont pris une décision. Il est autorisé à jouer. C’est à peu près tout ce que j’ai à dire à ce sujet. Je lui souhaite le meilleur pour l’US Open, et je suis impatient de jouer mon propre rôle à l’US Open."
Thiem se souvient : "La directrice du tournoi nous a vraiment suppliés de ne pas faire la fête" Alors qu’il prendra sa retraite en octobre prochain et qu’il va jouer le dernier Grand Chelem de sa carrière à New-York, Dominic Thiem a accordé un entretien à nos confrères de L’Équipe dans lequel il est notamment revenu sur son premier et unique sacre en Grand Chelem, à l’US Open justement, en 2020.  Titré au terme d’une édition bien particulière, Covid et confinement oblige, l’Autrichien est revenu sur ce sacre aussi magnifique qu’étrange : "Il y a deux façons de voir les choses. C’est triste d’avoir remporté mon seul Grand Chelem devant 50 personnes, sans public, sans atmosphère. Mais c’est aussi spécial de l’avoir emporté dans des circonstances inédites, avec les portes fermées. La directrice du tournoi (Stacey Allaster) nous a vraiment suppliés de ne pas faire la fête, de ne pas sortir de la bulle et de rester à l’hôtel. On s’y est tenu. Il y avait pourtant de quoi faire à Manhattan ! On a fêté ça avec mon équipe, dans ma chambre, avec des pizzas. C’est probablement la seule fois qu’un joueur a célébré un titre du Grand Chelem de cette façon. Je n’ai bu qu’une bière, j’étais tellement fatigué. Je n’ai pas réussi à dormir tellement il y avait d’adrénaline dans mon corps. On s’est réveillé à 6 heures pour le marathon presse, c’était très long. Être en gueule de bois n’aurait pas été une idée brillante."
Sinner s’exprime enfin : "Maintenant, c’est fini" Sa prise de parole était très attendue.  Alors que les réactions au sujet de l’affaire Sinner et de ses suites continuent de se succéder, le principal concerné s’est enfin exprimé. Interrogé lors du Média Day de l’US Open, le numéro 1 mondial a insisté sur son innocence désormais officielle : "Vous savez, dans mon esprit, je sais que je n’ai rien fait de mal. J’ai dû jouer pendant des mois avec cette idée en tête, mais je me rappelle que je n’ai rien fait de mal. J’ai toujours respecté ces règles, et je les respecterai toujours. Dans mon esprit, comme je l’ai déjà dit, je suis heureux que le résultat soit enfin connu, car c’est une sorte de soulagement pour moi et pour mon équipe, qui est toujours là. Il est évident que la préparation de ce tournoi n’a pas été parfaite en raison de certaines circonstances. Maintenant, c’est fini. C’est quelque chose que j’attendais, vous savez, j’attendais le résultat. Oui, maintenant c’est sorti, et c’est tout."
Henman : "Il serait un excellent entraîneur" Tim Henman, ex-numéro 4 mondial et vieille gloire du tennis britannique, a récemment été questionné sur la retraite d’Andy Murray.  Forcément très admiratif de ce que tout a réussi à accomplir son compatriote, Henman est revenu sur le potentiel avenir de Murray. Ainsi, s’il conseille à l’ancien numéro 1 mondial de profiter de ses proches, il le verrait bien devenir un grand entraîneur : "Mon conseil à Murray serait de prendre son temps. Il a eu une carrière phénoménale et sa femme et ses quatre enfants voudront le voir beaucoup plus souvent. Il peut vraiment en profiter et la liste des opportunités qui s’offrent à Andy à l’avenir sera énorme, et il n’y a pas besoin de se précipiter. Mais si vous me demandez dans quelle direction je pense qu’il ira, je dirais un rôle d’entraîneur. Il a une énorme passion pour le jeu, et c’est là que je suis sûr qu’il sera toujours impliqué d’une manière ou d’une autre. Quand on pense à son QI tennistique, il serait un excellent entraîneur qui aurait énormément à offrir."
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